Wordle est de retour et j’ai tenté de résoudre ses énigmes avec l’aide de ChatGPT. Résultat : une bataille hilarante entre logique humaine et intelligence artificielle.
Je me souviens encore de l’excitation lorsque Wordle est devenu viral, il y a deux ans. Chaque matin, je me lançais dans ces puzzles, obsédé par l’idée de deviner le mot du jour. Puis, ChatGPT est arrivé. Avec cette nouvelle technologie, je me suis dit que je pourrais tricher pour résoudre les énigmes plus facilement. Mais la fascination pour le jeu s’est estompée. Je manquais de temps et, honnêtement, mes performances n’étaient pas fameuses.
Ce matin, après plusieurs échecs sur Wordle, il ne me restait plus que deux chances. Frustré, j’ai pris une capture d’écran et l’ai envoyée à ChatGPT. Avec une assurance déconcertante, il m’a proposé BEACH et LEACH. Évidemment, aucun des deux n’était correct. J’ai ri nerveusement : le A était clairement dans le mot, mais pas au milieu. Je me suis senti presque soulagé de ne pas être le seul à me tromper.
Un nouveau départ… et une nouvelle déception
Pour repartir sur de bonnes bases, j’ai décidé d’utiliser un VPN et de recommencer. Cette fois, j’ai demandé à ChatGPT un « mot de départ parfait ». Il m’a suggéré CRANE et m’a expliqué que ce mot incluait des lettres courantes, avec un bon mélange de voyelles et de consonnes. C’était logique. Motivé, j’ai suivi ses instructions.
Les premiers résultats étaient prometteurs. PLAIT, son deuxième mot, a révélé la lettre L. Mais ensuite, tout s’est compliqué. SALON, FLOAT, puis SHALT… à chaque étape, je sentais que ChatGPT tâtonnait. Il plaçait les lettres correctement pour les déplacer au coup suivant. Je voyais le désastre se profiler.
Le coup de grâce
Avec seulement une tentative restante, ChatGPT a proposé BLAST. J’ai éclaté de rire. Ce mot réutilisait des lettres déjà écartées et détruisait nos maigres avancées. Ce fut un nouvel échec cuisant, mais cette fois, partagé avec l’IA.
Cette expérience avec ChatGPT m’a rappelé que Wordle reste avant tout une affaire de logique humaine. L’IA a des talents impressionnants, mais il n’est pas infaillible. Je crois que je vais ranger mon « assistant » pour cette fois et me fier à mon instinct. Peut-être qu’avec un peu de pratique, je n’aurai plus besoin d’aide… ou presque.
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