Pourquoi de plus en plus de personnes croient qu’OpenAI est l’entreprise la plus orwellienne de notre époque ? Si vous vous êtes posé la question, cet article va certainement vous éclairer sur le sujet !
Le nom d’OpenAI est souvent synonyme d’innovations révolutionnaires en matière d’intelligence artificielle. Toutefois, certains experts voient dans cette organisation plus qu’une simple avancée technologique. Du coup, lorsqu’il est question d’OpenAI, le monde dystopique décrit par George Orwell dans son roman « 1984 » revient toujours sur le tapis.
En effet, ce livre fait référence à un univers de surveillance, de contrôle de l’information et de manipulation de masse. Il est donc tout à fait normal de croire qu’OpenAI est l’entreprise est la plus orwellienne de notre époque si on fait un rapprochement. Explication !
OpenAI: le contrôle de l’information et centralisation qui fait écho à une entreprise orwellienne ?
Dans « 1984 », Orwell dépeint un régime totalitaire où le gouvernement, dirigé par « Big Brother », contrôle strictement toutes les informations. La manipulation de la vérité et la surveillance constante des citoyens permettent à ce régime de maintenir son emprise sur la société. Certains experts établissent un parallèle avec OpenAI. Cela s’explique par la manière dont l’entreprise contrôle l’accès à ses technologies avancées d’intelligence artificielle.
OpenAI a pris des mesures pour limiter l’accès à ses modèles les plus puissants. Ces outils sont gardés sous étroite surveillance et en décidant qui peut ou ne peut pas utiliser ces technologies. Si cela est souvent justifié par des raisons de sécurité, beaucoup y voient un précédent inquiétant. Cette centralisation du contrôle de l’information et de la technologie rappelle les stratégies orwelliennes, où une entité unique détient un pouvoir immense sur ce que les gens peuvent voir, dire et faire.
Surveillance et manipulation : l’IA au service du contrôle de masse ?
Une autre critique courante de la puissance croissante d’OpenAI réside dans le potentiel de surveillance de masse qu’offrent ses technologies. À l’instar des téléscreens omniprésents de « 1984 », qui observent chaque mouvement des citoyens, l’intelligence artificielle d’OpenAI pourrait être utilisée de la même façon. Elle pourrait surveiller, analyser et prédire les comportements humains. Le risque est que ces technologies permettent un contrôle subtil et invisible à échelle mondiale. Pour ce faire, il pourra collecter d’énormes quantités de données personnelles et en influençant les décisions des individus.
Des outils comme GPT-4, capables d’interagir de manière humaine avec des utilisateurs, peuvent être utilisés à des fins moins nobles. Si une entreprise ou un gouvernement décidait de tirer parti de ces capacités, il serait possible de contrôler les discours publics et les narrations politiques. Cela ne vous rappelle la manipulation de la vérité dans le roman d’Orwell ?
Il est important de souligner qu’OpenAI n’est pas une dictature dystopique. Cependant, certains points nous poussent à croire qu’elle pourrait devenir une entreprise orwellienne dans l’avenir. L’entreprise, par sa position de leader dans le domaine de l’IA, concentre un pouvoir immense. Ce pouvoir soulève des préoccupations légitimes quant à l’avenir de la liberté d’expression, de la surveillance et du contrôle de l’information. Ce contrôle permettrait d’éviter une dérive technologique, surtout si l’entreprise de Sam Altman ne tombe entre de mauvaises mains.
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