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La France plus riche grâce à l’IA ?

L'IA va rendre la France plus riche que jamais

L'Élysée prévoit une hausse du PIB d'ici 2030, ce qui devrait permettre à la France de devenir l'un des pays les plus riches grâce à l'IA. Le rapport du comité souligne également un impact positif de l' sur l'économie française.

D'après le comité interministériel sur l'intelligence artificielle générative, l'IA constituerait « le » moteur de croissance de l'économie du pays. Si certains en doutent, le président est convaincu de l'effet de levier de cette . On devrait alors s'attendre à une hausse de 250 à 400 milliards du PIB d'ici 6 ans. Soit une augmentation de 10 % par rapport à notre niveau actuel.

Émergence de l'IA générative en France, risque minime de perte d'emplois

L'étude, remise au président Macron, a été menée par un groupe composé de 15 experts. La présentation des résultats devait d'ailleurs avoir lieu hier, mais nous n'avons pas encore eu vent des détails sur l'annonce du président.

En tout cas, des préoccupations s'installent auprès des employés quant à l'émergence de l'IA générative en France. Les résultats de l' laissent d'ailleurs entrevoir des opinions pondérées. Néanmoins, les risques sont encore minimes en ce qui concerne la majorité des emplois en France. En particulier pour les tâches ne nécessitant pas une automatisation.

La présidence est convaincue de l'impact positif de l'IA sur l'économie française, pas le FMI !

Toujours d'après le rapport de l'étude, l'inquiétude ne devrait pas s'installer auprès des opérateurs économiques du pays. Mais la capacité d'adaptation, ou encore la résilience des travailleurs humains face à l'avènement de l'IA est aujourd'hui remise en question.

Améliorez la performance de vos projets grâce à l’IA générative ?

Alors, si le comité interministériel sur l'intelligence artificielle générative reste optimiste quant au progrès technologiques, le FMI (Fonds Monétaire International) voit les choses autrement. Selon lui, l'IA impacterait plus de la moitié des fonctions hautement qualifiées en Farnce. Il met d'ailleurs le comité en garde contre les inventions et les innovations qu'induit la technologie d'intelligence artificielle.

De son côté, Adam Slater, économiste chez Oxford Economics, souligne des préoccupations face à la capacité de productivité de l'intelligence artificielle. Il ajoute que des investissements massifs sont nécessaires pour concrétiser les présumés gains de productivité de l'IA.

Tout compte fait, ni le comité, ni la présidence, ni le FMI n'a son dernier mot à dire. La France a encore des défis à relever par rapport à la qualification de la main-d'œuvre. Or, pour les petites entreprises, il s'agit d'un processus nécessitant d'importantes ressources financières.

Pratiquement, on doit avant tout trouver le juste équilibre entre l'introduction et l'adoption de l'IA en France. Surtout avec le développement de nouvelles technologies d'intelligence artificielle. Pour ce faire, chacun des acteurs, avec le soutien des autorités de régulation, doit réussir à répartir les intérêts dans la société.

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