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L’IA va mourir en 2025 ? Voici ce que vous devez absolument savoir !

Vous avez pensé que l’IA  va mourir en 2025 parce qu’elle semble atteindre ses limites de développement ? Détrompez-vous, l’ère de l’IA ne fait que commencez, et voici les secrets derrière son expansion !

Nous avons vu au cours de ces dernières années comment l’ a évolué de manière fulgurante. Avec l’avènement des outils générateurs de texte, de vidéos et d’images à l’instar de , de Sora AI ou encore de , notre manière de travailler a changé de manière radicale. Sauf que ce n’était qu’un avant-goût de ce que l’IA nous réserve malgré ses signes de rendements décroissants.

En effet, si vous vous êtes demandé si l’IA est morte en 2025, la réponse est non ! Entre les craintes d’une IA qui pourrait causer la fin du monde et l’espoir d’une qui pourrait sauver l’humanité à tous les égards, on se demande jusqu’où l’IA va aller. Alors que nous sommes à l’aube de 2025, les prédictions montrent que les frontières de l’IA seront repoussées. Explication !

Pourquoi les gens pensent que l’IA va mourir en 2025 ?

Si beaucoup de monde pensent que l’IA est morte en atteignant ses limites en 2025, c’est tout simplement à cause des lois d’échelle neuronale. En effet, ces lois ont permis de révolutionner les modèles de langage LLM tels que le d’. Si vous ne l’avez pas compris, plus on augmente la taille des modèles, les ressources de calcul et les données d’entraînement, plus leurs performances augmentent également.

Toutefois, ces performances ralentissent à mesure que les modèles atteignent leur apogée. De ce fait, l’ajout de nouvelles données, algorithmes et autres n’auront qu’un infime impacte sur le développement des modèles LLM.

Le manque de données de haute qualité utilisées dans l’entraînement des modèles LLM tels que ChatGPT ou encore réduisent également cette capacité à se développer. En effet, ces modèles de langage utilisent les données disponibles sur la toile pour se performer et répondre aux questions des utilisateurs. Du coup, après avoir fait le tour du web, les données ont été épuisées, limitant ainsi le potentiel développement de l’IA.

Et pour terminer, il faut également noter que l’IA rencontre des problèmes éthiques et environnementaux. En effet, les entraînements intensifs de l’IA nécessitent des ressources importantes liées à l’utilisation des datas centers.

Ainsi, les entreprises tech sont obligées de trouver des solutions beaucoup plus durables pour pouvoir développer l’IA. Qui plus est, les problèmes éthiques engendrés par l’IA tels que les biais, les hallucinations et les usages abusifs des données personnelles contribuent également à la limitation du développement de l’IA dans son ensemble.

Des solutions déjà trouvées pour éviter la fin de l’IA ?

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Il est tout à fait légitime de croire que l’IA va mourir en 2025 si nous nous référons aux différentes limites susmentionnées. Cependant, plusieurs solutions ont déjà été mises en place pour relever les défis liés à son développement. Parmi les plus notables l’injection de 500 milliards de dollars dans l’industrie de l’IA par le gouvernement américain a surpris beaucoup de monde. Une promesse d’aide que Donald Trump avait formulé lors de son investiture afin de mettre en place Stargate, la plus grande entreprise d’IA ayant jamais existée jusqu’à présent !

Outre cela, il faut aussi noter que les entreprises leaders dans le domaine de l’intelligence artificielle comme OpenAI, , ou encore allouent près de 80 % de leurs budgets pour l’IA à son développement. Cela comprend entre autres des fonctions liées à l’innovation des modèles de langages afin d’assurer la pérennité de l’IA.  

Afin d’assurer le développement de ces modèles LLM, ces entreprises se focalisent également dans les infrastructures technologiques, la gestion des données et le développement des compétences de leurs salariés. Ces démarches permettent d’adopter de nouvelles technologies capables de répondre aux défis écologiques et interopérabilités de l’intelligence artificielle.

Quid des problèmes liés aux cybermenaces ?

Comme je l’ai dit un peu plus haut, les problèmes de sécurité et d’éthique peuvent constituer un frein au développement de l’IA. Du coup, pour 2025, les entreprises tech qui œuvrent dans ce domaine ont décidé d’adopter des solutions de cybersécurité pilotées elles-mêmes par l’IA. Ces mesures visent entre autres à détecter les menaces de cyberattaques en temps réel.

Elles permettent également d’analyser de grands volumes de données en un temps record tout en prédisant les menaces potentielles. Et pour optimiser la sécurisation des données, les processus de défenses mis en place ont été automatisés. Cela permet également d’utiliser l’IA de manière plus responsable et plus éthique.

Bien que la plupart des entreprises qui utilisent l’IA soient confrontées à ce problème éthique, les secteurs médicaux restent les plus concernés. Cela est d’autant plus vrai avec l’ajout d’agents IA autonomes. De ce fait, la question relative à la sécurité et à l’utilisation équitable reste au cœur de tous les débats. Et comme nous l’avons toujours clamé, il est peut-être temps de se pencher davantage dans la formulation d’une loi visant à réguler l’usage de l’IA sur le plan international.

2025 semble être l’année où l’IA, la robotique et la voiture électrique vont connaître une avancée fulgurante. Ce changement peut être déroutant, toutefois, il apportera également son lot d’avantages bénéfiques à l’humanité.

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