L’intelligence artificielle n’est plus un simple outil : un Français sur cinq lui parle comme à un humain. Yiaho, la plateforme française d’IA, révèle comment l’IA s’invite dans nos conversations, nos émotions et nos vies.
L’étude menée par Yiaho met en lumière une transformation profonde de la relation entre les Français et l’intelligence artificielle. L’intelligence artificielle s’humanise. 1 Français sur 5 parle désormais à une IA comme à un ami, parfois même avec familiarité ou agacement. Derrière ces chiffres, la plateforme Yiaho dresse un portrait de l’usage de l’IA dans la vie quotidienne et professionnelle. Les usages se diversifient et oscillent entre productivité professionnelle et interactions plus personnelles, voire affectives.
L’IA devient un interlocuteur à part entière
En 2025, les Français ne se contentent plus d’utiliser l’intelligence artificielle : ils lui parlent. Selon les données publiées par Yiaho, « 1 utilisateur sur 5 parle à l’IA comme à un humain ». Parmi eux, 1 sur 8 adopte un ton amical, et 1 sur 11 laisse échapper des mots d’agacement. Ce glissement du rapport homme-machine révèle une normalisation inédite de l’IA dans la sphère intime.
La conversation avec une IA n’est plus un simple outil, c’est un réflexe. Les échanges détectés par Yiaho se répartissent entre 68 % de messages neutres ou factuels et 12 % d’interactions marquées par un ton amical. À l’inverse, 9 % contiennent des signes d’agacement ou des insultes. Cela montre que les émotions humaines s’invitent désormais dans le dialogue avec la machine. L’humanisation de l’IA progresse partout dans le monde, mais Yiaho y ajoute une touche bien française avec politesse, humour et spontanéité.
Des usages ancrés entre travail et vie personnelle
L’étude menée auprès de 5 millions d’utilisateurs actifs de janvier à juin 2025 illustre un équilibre singulier entre productivité et divertissement. « 55 % utilisent l’IA dans un cadre professionnel », indique Yiaho. Parmi eux, 25 % se servent d’agents pour rédiger ou reformuler des textes, 20 % pour le soutien scolaire et 10 % pour répondre à des e-mails. Mais la frontière entre sérieux et légèreté reste poreuse : 45 % des échanges concernent des activités ludiques, familiales ou créatives.
Le coaching personnel (parentalité, nutrition, relations amoureuses) représente à lui seul 20 % des usages. L’analyse sémantique menée via spaCy et Tableau met en lumière un pan plus inattendu. 11 % des conversations sont « inutiles », limitées à des remerciements ou à de la cordialité. Autrement dit, l’IA devient aussi un compagnon de conversation, parfois sans finalité fonctionnelle. Une preuve supplémentaire que l’interaction dépasse le cadre technique pour entrer dans la sociabilité numérique.
Yiaho, une alternative française qui monte en puissance
Fondée en 2023, Yiaho s’est imposée comme la première plateforme conversationnelle d’intelligence artificielle 100 % française. Son modèle, accessible sans inscription ni frais, tranche avec les offres premium des géants américains. En deux ans, elle a conquis plus de 5 millions d’utilisateurs francophones, avec un taux de résidence en France de 95 %. « Notre objectif est de documenter et de démocratiser l’usage de l’IA en France », souligne l’équipe de Yiaho.
Une mission que l’entreprise accompagne d’une transparence exemplaire : anonymisation totale des données, conformité au RGPD et suppression automatique des informations après agrégation. Même si le marché est dominé par OpenAI ou Google, Yiaho parvient à se distinguer par la proximité linguistique et culturelle qu’elle entretient avec ses utilisateurs. Un pari audacieux, mais qui semble payer : à mi-chemin entre outil professionnel, confident et coach, l’IA made in France gagne chaque jour en popularité.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
- Partager l'article :
