À l’heure où les ambitions professionnelles s’élargissent au-delà des frontières, une étude de DeepL révèle le rôle croissant de l’IA linguistique pour surmonter les freins liés aux langues étrangères.
Alors que la mobilité professionnelle s’intensifie à l’approche de l’été, une réalité persiste ! La langue reste un frein pour bon nombre de salariés français. Une étude récente signée DeepL, en partenariat avec Opinéa, met en lumière un paradoxe marquant. Tandis que les opportunités à l’international se multiplient, les difficultés linguistiques empêchent encore trop souvent les talents de franchir le pas. Une dynamique en mutation grâce aux apports concrets de l’intelligence artificielle linguistique.
Les langues, un frein encore trop présent
Le marché du travail s’ouvre à l’international, mais la langue reste, pour beaucoup, une barrière invisible. C’est ce que met en lumière l’étude menée par DeepL et l’institut Opinéa en février 2025 ! Près de deux tiers des actifs français avouent rencontrer des difficultés avec les langues étrangères dans leur environnement professionnel. Ce chiffre est révélateur. Il souligne un paradoxe bien connu : dans un monde globalisé, l’accès à des missions à forte visibilité ou à des mobilités reste conditionné à la maîtrise linguistique.
Ces difficultés ne sont pas anodines. Elles freinent les échanges, limitent les prises d’initiatives et complexifient les candidatures internes vers des postes à l’international. Comme le souligne l’étude, il s’agit là d’un frein direct aux ambitions, mais aussi à la création de liens solides au sein de réseaux professionnels mondiaux.

L’IA, facilitatrice d’opportunités concrètes
Face à cette contrainte, les outils d’IA linguistique, tels que ceux développés par DeepL, apparaissent comme de véritables catalyseurs d’évolution professionnelle. Pour 60 % des utilisateurs interrogés, l’impact sur leur carrière est tangible. Plus encore, 63 % estiment que ces technologies leur ont permis de décrocher de nouvelles opportunités commerciales.

Le constat est limpide ! Ces outils ne se contentent pas de traduire, ils permettent d’exprimer plus précisément une pensée, d’adapter un message au bon ton, au bon contexte. Dans les faits, cela se traduit par une confiance accrue lors de prises de parole en anglais, une meilleure rédaction de courriels professionnels ou encore la capacité de répondre à des appels d’offres internationaux sans crainte de malentendu.
Une autonomie linguistique en pleine expansion
Derrière les chiffres, une transformation s’opère dans les usages. Ce n’est pas tant la performance technique qui séduit, que les bénéfices concrets au quotidien : 90 % des utilisateurs disent mieux s’exprimer dans une langue étrangère grâce à l’IA, et 64 % affirment un gain de productivité direct. C’est une tendance qui gagne du terrain : celle d’une autonomie linguistique retrouvée, sans dépendance systématique à des traducteurs humains ou à un niveau académique irréprochable. L’IA linguistique donne un coup d’accélérateur aux carrières, libère la parole et ouvre des portes auparavant inaccessibles.
Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.
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